11 réflexions sur “LES MÈMES DE LA SEMAINE. Aujourd’hui: LA MORT DE JEAN-MARIE LE PEN

  • patrice sage

    JMLP n’était certes pas de « ma tasse de thé », si vous me permettez (ou comprenez) cette expression.
    Mais les mots « envergure » ou « personnalité » habillent sans nul doute et sans difficulté le personnage.
    Fréquentant le Québec depuis une vingtaine d’années, je puis affirmer (mais en conviendrez vous…
    que je cherche encore un politicien ou politique du Québec doté de quelque personnalité et encore moins d’envergure.
    Les souris se moquent sans doute des chats mais elles ont la décence de le faire discrètement.
    Alors, de grâce, critiquez Trudeau ou les guignols qui vous ont vaccinés mais laissez Le Pen tranquille.
    Nous ne sommes pas du même monde…
    Capito ?
    PS

    Répondre
    • Oh ça va, le petit chauvin baillonneur, là . Si ton Menhir adoré est si gigantal, son ombre poisse le monde. Le monde entier en cause donc, et t’as pas à nous souffler nos lignes. Point de détail il fut, point de détail il restera.

      Et, pour calembourrer comme il le faisait tant (« enfin du concept », hein…): MON PETIT PATRICE SA-GE NE LE SECONDE PAS…

      Répondre
      • Cher Monsieur Laurendeau,
        Il y a des réponses qui sont des acquiescements.
        Je voulais, quant à moi, simplement souligner la vulgarité de votre propos en inadéquation avec le disparu.
        Merci de le confirmer avec une hargne sommaire que je n’espérais pas.
        Ce menhir n’était pas « mon adoré » mais je reconnaissais simplement sa personnalité en général, son charisme et sa maitrise de la langue française.
        Maitrise dont vous devriez vous inspirer même si cela m’apparait comme une mission impossible car votre expression et votre pensée sont sans aucun doute en adéquation…
        Lorsque je vous lis, mon cher Laurendeau, l’image de votre pensée apparait quelque peu froissée et déchirée à l’image de votre style approximatif, d’une grammaire inexistante et d’un vocabulaire de charretier en goguette.
        Vous êtes, à ne point douter, de gauche. Le type parfait de l’intello marxistoïde.
        La FED, les banques et Blackroc peuvent dormir tranquilles: Laurendeau n’est bien qu’un (tout petit) détail pour eux.
        Un reste de charité chrétienne m’interdit d’aller plus loin. Quittons-nous donc sur ce foutu détail.
        Et acceptez, malgré cet échange, mes bons vœux, pour 2025.
        PS

        Répondre
        • Sage (si peu), l’incohérent et réac symptôme d’époque que tu verbalises (aussi au sens policier du terme) passera comme le reste. Ouvre grand les yeux sur demain: Le Pen est mort.

          Répondre
  • sage

    Vous me faites penser, cher Laurendeau, à un homme qui s’agite dans des sables mouvants. Et plus Laurendeau s’agite, plus il s’enfonce. Et sombre de façon pathétique dans son « moi » approximatif, sommaire et inculte.
    Au point de pondre deux lignes absolument incompréhensibles et pompeuses (« Ouvre les yeux sur demain » me dites-vous. On dirait du Trudeau rewrité par Kamala Harris…).
    Plus prévisible que Laurendeau, on meurt et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai répondu à votre première réaction même si j’étais convaincu que votre rédacteur en chef allait très vite arrêter les frais pour ne pas trop exposer ou révéler cette vacuité mentale à vos lecteurs. Mais non, asinus asinum fricat, qui se ressemble s’assemble. Dont acte.
    Qu’allez-vous excréter cette fois-ci ? Je crains le pire. Pour vous.
    Je vous conseille de vous taire, de vous retirer silencieusement, de battre retraite pour mieux, éventuellement, revenir plus tard mieux armé. Technique Zelenski…
    Mais méfiez-vous, cher Popol, j’ai 20 ans de judo de compétition dans les reins et quarante ans de chasse au gros gibier. Deux activités qui m’ont appris à prévoir les réactions de l’adversaire. Technique Vlad…
    Si vous esquivez, si vous rentrez dans le sous-bois avec prudence, vous avez ma promesse de me taire et de pas exulter…
    Et, peut-être même, pourrions-nous boire un bon coup ensemble lors de ma prochaine venue à Montréal ! Pourquoi pas ?
    Bien à vous
    PS

    Répondre
  • Tu es vraiment atteinte du syndrome de la maitresse d’école corrigeuse de fautes (certainement bretonne… Pencassine, en un mot). Fais du juju-dodo en silence. Trucide des grosses va-vaches innocentes… ça va t’aérer les ergots.

    Répondre
  • sage

    A l’avance, cher Popol, je savais que le mot « chasse » allait irriter votre écolo-wokisme et que j’allais avoir droit aux larmes de crocodile sur le pauvre Bambi « innocent ».
    Vous êtes affligeant, prévisible et fatiguant. Pour rester poli.
    Alors, un dernier mot au sujet de Le Pen puisque c’est lui qui a permis nos échanges et votre prose délicieuse : celle-ci me fait dire que cet homme n’avait peut-être pas complètement tort.
    Même mort, Jean-Marie Le Pen continue donc de nuire…
    Etonnant, non ?
    PS

    Répondre
    • Robert Huet

      L’ignorance et la bêtise sont tes deux principales qualités. Tu devrais disparaître en te suicidant, ça rendrait un grand service à l’humanité. Tu te réfugies toujours dernière des mots sans réelle signification par rapport à la réalité que nous vivons, nous les vrais humains. Tu n’es pas un loup, mais qu’un pauvre derrière de vieille tapette frustré de ne plus bander.

      Répondre
      • sage

        C’est vrai, cher Monsieur Huet, que notre Popol Laurendeau est agaçant et votre réaction laisse supposer votre sentiment qui explique sans doute ce jugement sans appel et cette exécution en bonne et due forme.
        Permettez-moi d’émettre seulement une réserve quant à l’issue autolytique que vous suggérez : un suicide priverait le Net de Laurendeau et de sa prose repoussoir et imbécile. J’ai la conviction que beaucoup d’électeurs de Trump (ou de Le Pen !) le sont devenus à cause des délires de Popol ou de ses copains.
        Ceci dit, j’ai beaucoup aimé votre évocation de « ce pauvre derrière de vieille tapette… ». Vous avez indéniablement le sens de la formule.
        J’avais proposé à Laurendeau de lui offrir un verre lors l’un de mes passages à Montréal. Invitation qu’il a ignorée avec le dédain que nous lui connaissons.
        Je vous fais la même proposition. Si vous l’agréez, il vous suffit de me contacter sur Telegram. Vous me trouverez en tapant « Sage ».
        A bientôt peut-être.
        PS

        Répondre
        • Banco. Le dialogue entre Trump-Huet et Pencassine-Sage est amorcé. Tous et toutes à vos barriques de maïs soufflé.

          Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

En savoir plus sur les 7 du quebec

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture