L’UNION EUROPEENNE, NE SURVIVRA PAS A LA GUERRE EN UKRAINE. ON ASSISTERA AU RETOUR DES ETATS-NATIONS!
Par Brigitte Bouzonnie.
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29.11.2022-Communia-Bouzonnie-nationalisme-Naba-Algérie-English-Italiano-Spanish
Regardons le futur. Pas les informations menteuses et insignifiantes, dont nous abreuvent chaque seconde les médias aux ordres de l’état profond américain. Regardons l’année 2023, débarrassée de ses marionnettes manipulées par l’OTAN : Biden et Zelensky.
On le sait : tôt ou tard, en 2023, nos personnages fantoches seront remplacées par Donald Trump et Vladimir Poutine. Poutine aura gagné définitivement la guerre en Ukraine. Obtenu la neutralisation totale de son adversaire. Gageons que l’Union Européenne, très engagée aux côtés de l’OTAN, ne survivra pas à un tel évènement. Et implosera en mille morceaux.
A la place, Poutine souhaite des états nations forts, susceptibles de participer activement à un monde multipolaire. Avec Poutine, les pays européens retrouveront leur autonomie, sous protectorat russe.
Mais Poutine n’est pas le seul à vouloir la mise au rancart de l’Union Européenne. Comme explique Pierre-Yves Rougeyron dans sa vidéo du 7 novembre du Cercle Aristote, Donald Trump est aussi pour le Frexit, c’est à dire la sortie de la France de la communauté européenne. Il l’a même proposé à macron, du temps où il était Président des Etats-Unis. Sortie de la zone euro assortie de la signature d’un traité franco-américain, dont il a promis la signature. Naturellement, macron a refusé.
Mais une telle proposition montre un changement radical de la politique de certains dirigeants américains vis à vis de la construction européenne. Certes, ce sont les américains, avec la CIA et Dean Acheson, Ministre des affaires étrangères en 1950, qui ont imposé « l’Europe supranationale », afin d’asservir, vassaliser les grands pays européens. Hélas, c’est ce qui fut fait.
Aujourd’hui, la donne a changé. Le principal adversaire pour les américains, c’est la Chine. Les Etats-Unis ont besoin d’alliés solides, tant sur le plan économique que politique. Tout le contraire des laquais actuels recevant leurs ordres de Washington.
On le voit : s’agissant de l’Europe 2023, Poutine et Donald Trump ont des vues semblables : 1°)- sortie de la zone euro. 2°)- retour à des états nations forts.
Toute la question est de savoir quand et comment Donald Trump va revenir au pouvoir. D’ores et déjà, comme écrit Thom Aldrin, « il se comporte comme un président en exercice » (sic).
Les résultats des élections de mi-mandat ne sont pas encore connus. Par exemple, pour l’état de Géorgie, un second tour est prévu le 6 décembre 2022. De nombreuses fraudes ont été repérées dans l’Etat de l’Arizona, au moins dans quatre comtés. Autant d’agissements générant un épais brouillard, dans la compréhension des résultats de cette élection. Seul le plus fort (Biden/Trump) dissipera cette brume. C’est la situation d’incertitude actuelle dans laquelle nous vivons. Et qui va durer de longues semaines.
Il faut commencer à penser le monde avec des paradigmes différents de ceux existant en 2022 : notamment l’Union Européenne, trop compromise, ne survivra pas à la guerre en Ukraine, qu’on se le dise !
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https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2022/11/a-uniao-europeia-nao-sobrevivera-guerra.html
L’article de Brigitte Bouzonnie met un peu de baume au cœur, quoique deux des points principaux m’apparaissent néanmoins fragiles :
1) Le retour au pouvoir de Trump d’ici 2 ans.
Il y a eu tellement de remue-ménage et de traîtrises lors de la présidentielle 2020 et ses suites judiciaires, que j’ai du mal à percevoir aujourd’hui des changements de fonds qui afficheraient une note d’espoir.
La forme quant à elle reste inchangée. Affligeante sinon médiocre dans son intégralité.
Alors que Ron DeSantis émerge et draine un électorat plus jeune, les médias dans leur intégralité (dans l’UE), focalisent sur Trump. Quel coup fourré se cache encore là-derrière ? A suivre …
2).Le Frexit ? …. mais pas dans ce sens là.
Je pense que Macron a une petite « idée » derrière la tête.
Afin de contourner le droit électoral et la Constitution (très très discrètement amendée il va sans dire, on n’est plus à une anomalie près), je le pense capable de dissoudre l’Assemblée, de démissionner dans la foulée puis, toujours avec l’intervention des mêmes acteurs en lice, de se faire réélire pour un troisième mandat, ce qui est constitutionnellement impossible aujourd’hui.
Les manœuvres et anomalies électorales ont si bien fonctionné lors des deux premiers mandats, qu’il aurait tort de se gêner. Et l’opposition n’existe plus en France. Tout bénèf !
« En même temps » et curieusement, la presse française focalise sur une enquête concernant deux informations judiciaires contre Macron dans le cadre de l’affaire McKinsey (relations Mac Kinsey/Macron).
Mais on apprend aujourd’hui que Jean-François Bonhert, procureur financier de la République qui a lancé ces deux informations, était invité hier à festoyer à l’Elysée, en présence du Président.
Un rideau de fumée et un mélange des genres plus que douteux.
Et voilà qui, à défaut de l’expliquer, illustrerait peut-être son sympathique voyage chez Biden…
Oups … merci de lire « des changements de FOND qui afficheraient une note d’espoir ».
Constitutionnellement, macron ne peut pas se présenter une troisième fois de suite. Il lui faut attendre 2027. En ce moment, le journaliste lanceur d’alerte Georges Malbrunot a rédigé un tweet commenté dans une vidéo du marquis de Deslincourt du 30 novembre 2022. « On » (l’armée ?) veut se débarrasser de macron. En 2023, après un énième 49-3, il est prévu que macron démissionne et attende 2027 pour « revenir ». Une sortie honorable en quelque sorte ! Gardez espoir : tout n’est pas perdu !
@ Brigitte Bouzonnie
« …/… On » (l’armée ?) veut se débarrasser de macron. En 2023, après un énième 49-3, … ».
Hmmm ….Sinon aboyer contre les tripotages 49.3 pour assurer la parade, il n’y a rien d’autre à attendre de cette équipe, que ce soit côté députés ou côté sénateurs.
« On » … pourrait venir de l’armée dites-vous ? Allez savoir …
Je nourris toutefois une réserve toute particulière à l’encontre des gamelins de la loge qui ont noyauté l’Institution.
Concernant les mandats présidentiels, sur le « fond » vous avez incontestablement raison.
Toutefois, attention à la « forme » qui peut être altérée par certains amendements récents votés trés discrètement.
Je pense que les « promoteurs » de Macron oeuvrent et manoeuvrent pour ne pas prendre le risque de perdre la main à l’issue du mandat en cours. Mieux vaut prévenir que guérir.
L’attitude détachée de Macron, son voyage à Washington et sa récente réflexion convenue faite au journaliste qui l’avait interpellé quant aux deux informations judiciaires en cours le concernant (mise en scène évidente vu son statut tabou) : « laissez faire la justice », suggèrent une possible manoeuvre en gestation, laquelle bousculerait le décor. Sors de ce corps Machiavel !