Arafat, Mister Palestine for ever (2/2)
RENÉ NABA — Ce texte est publié en partenariat avec www.madaniya.info.
Cet article est disponible en anglais et en italien ici :
Article de Rene Naba-anglais-italien du 2 janvier 2024.
Barack Obama dans l’histoire : Un président sans dessein, otage du lobby pro israélien, ou le premier président afro américain de la société post raciale américaine, porteur des valeurs universelles des États-Unis ? Tel était l’enjeu de l’élection du premier président afro descendant de l’Histoire des États-Unis.
Les Palestiniens se sont résolus à se lancer, en septembre 2011, dans une campagne internationale pour l’adhésion de l’État de Palestine à l’ONU, particulièrement la reconnaissance de leur souveraineté sur les territoires dans les frontières de 1967, en vue de mettre tout un terme tout à la fois à l’expansionnisme rampant israélien et aux tergiversations occidentales, invoquant tantôt leur refus que la Palestine serve de «base soviétique» ou que Gaza ne serve de «base iranienne» feignant d’ignorer que le problème palestinien a pré existé à la création de l’Union soviétique, antérieur de soixante ans à l’accession de l’Iran au seuil nucléaire et que de revendications indépendantistes plus récentes ont déjà obtenu satisfaction telles le Kosovo ou le Sud Soudan, au mépris là du principe de l’intangibilité des frontières issues de la colonisation.
Depuis la 3me guerre israélo-arabe de juin 1967 et l’occupation des territoires arabes qui s’est ensuivie, 80 pour cent du territoire palestinien a été spolié et gangrené par des colonies israéliennes de peuplement; 80% des ressources aquifères de Cisjordanie ponctionnée au profit des Israéliens, de même que les ressources gazières au large de Gaza, au point que la Palestine est devenue la plus grande prison du monde de l’époque contemporaine avec ses dix mille prisonniers politiques palestiniens, quadrillé par 750 barrages militaires et un mur discriminatoire de séparation, alors que durant cette même période, 42% des hommes palestiniens ont été au moins une fois interpellés.
La chute du Mur de Berlin ne saurait occulter la nouvelle réalité issue de la mondialisation des flux.
Aux murs anciens séquelles de la guerre froide (Corée, Chypre, Sahara occidental, Ceuta et Melilla, le filtre à l’immigration vers la riche Europe) se sont greffés de nouveaux murs notamment entre les États-Unis et le Mexique, le long du Rio Grande, pour protéger l’Amérique de l’invasion latino américaine, en Arabie saoudite, pour protéger la pétromonarchie tant de l’Irak que du Yémen que le Royaume a cherché à déstabiliser depuis un demi siècle; voire en Irak même, dans la zone verte de Bagdad, le périmètre aménagé dans l’ancien palais présidentiel irakien pour protéger les envahisseurs américains des coups de butoir de la guérilla irakienne.
Mais de tous ces murs, seul le mur d’apartheid israélien a été édifié sur le territoire d’autrui. Un véritable «Mur de Jéricho moderne», qu’il importera d’abattre, dont la Cour internationale de Justice de La Haye a invité à son démantèlement partiel lorsqu’il rogne sur les territoires palestiniens occupés, estimant «illégal» cet édifice et «non conforme à plusieurs obligations légales internationales incombant à Israël». En ciment armé d’une hauteur de huit mètres, d’une longueur de 750 kilomètres, trois fois plus long que le Mur de Berlin et deux fois plus haut, ce «Mur d’Apartheid» enferme plus de trois millions de personnes dans des dizaines de villes et villages de Cisjordanie et de la région de Jérusalem.
En toute impunité, Israël a consacré en 44 ans, depuis 1967, plus de 17 milliards de dollars à la construction de colonies. Les accords d’Oslo, en 1993, prévoyait l’édification d’un état palestinien dans un délai de cinq ans. Mais en dépit de cet accord, le premier accord direct israélo-palestinien, le nombre des colons israéliens a triplé, passant de 200 000 à près de 600.000. La «feuille de route» adoptée par le Quartet, en 2003, appelait elle aussi au gel de la colonisation israélienne et au démantèlement des colonies de peuplement, mais Israël a refusé de s’y plier. Le peuple palestinien compte près de dix millions d’individus dans le monde.
Sans la moindre remontrance, entre 1947 et 1948, quelque 800 000 Palestiniens, soit 85% de la population palestinienne, ont été expulsés d’environ 500 villes et villages par les forces israéliennes puis par Israël. Du fait de l’essor démographique, plus de 4,8 millions de réfugiés palestiniens vivent de nos jours en Jordanie, au Liban, en Syrie et dans les territoires palestiniens occupés, la population de réfugiés la plus importante au monde.
Illustration symbolique du déracinement et de la volonté des Israéliens d’extirper les Palestiniens de leur terre ancestrale, Israël a adopté dès 1950 une «loi des absents» permettant à l’État israélien de s’approprier les biens vacants ou les biens devenus vacants par le départ forcé de leurs propriétaires palestiniens. Depuis cette date, plus de deux cents mosquées ont été profanées et détruites, remplacées par des bars et des boîtes de nuit. Le mouvement s’est amplifié en 2009 avec la décision israélienne de procéder à la dés-arabisation des noms de 2.500 (deux mille cinq cents) villes et localités arabes d’Israël, prohibant la commémoration de la Nakba, la perte de la Palestine, en 1948, gommant même ce terme des ouvrages scolaires, accélérant la colonisation de la Cisjordanie et du secteur arabe de Jérusalem, dans le souci de rendre irréversible la situation sur le plan cadastral.
Rien qu’en 2006, les Israéliens ont déraciné 13.572 arbres, détruit 787 silos, 788 fermes avec leurs animaux (14.829 chèvres et moutons, 12151 vaches, 16.549 ruches d’abeilles), détruisant 425 puits, 207 maisons.
Dans un geste de défi, sans faire l’objet de la moindre injonction comminatoire, le gouvernement israélien, a donné jeudi 11 août 2011 son feu vert à la construction de 4.300 logements dans le périmètre du grand Jérusalem 1.600 à Ramat Shlomo, 2.000 à Givat Hamatos et 700 à Pisgat Zeev, trois quartiers de colonisation de Jérusalem-Est. Près de 200.000 Israéliens se sont installés dans une douzaine de quartiers de colonisation à Jérusalem-Est, où vivent quelque 270.000 Palestiniens.
Près de cent ans après sa fondation, le Foyer National Juif apparaît ainsi rétrospectivement comme la première opération de délocalisation de grande envergure opérée sur une base ethnico religieuse en vue de sous traiter au monde arabe l’antisémitisme récurent de la société occidentale. Le refuge des juifs, des rescapés des camps de la mort et des persécutés, le pays du Kibboutz socialiste et de la fertilisation du désert, des libres penseurs et des anticonformistes, est devenu aussi, au fil des ans, un bastion de la religiosité rigoriste, des illuminés et des faux prophètes, de Meir Kahanna (Ligue de la Défense Juive) à Baruch Goldstein (l’auteur de la tuerie d’Hébron, le 25 février 2004), des gangs mafieux et des repris de justice, des Samuel Flatto-Sharon, à Arcady Gaydamak, à Marc Rich (1). Un phénomène amplifié par la décomposition de l’esprit civique, gangrené par l’occupation et la corruption affairiste des cercles dirigeants, matérialisé par le naufrage du part travailliste (le «parti des pères fondateurs»), et la cascade de démission au plus haut niveau de l’état soit pour harcèlement sexuel, soit pour des faits en rapport avec l’argent illicite. Et la Palestine, dans ce contexte, est devenue un immense défouloir de toutes les frustrations recuites générées des bas fonds de Kiev (Ukraine) et de Tbilissi (Géorgie) au fin fond de Brooklyn (Etats-Unis), le plus grand camp de concentration à ciel ouvert pour les Palestiniens, les propriétaires originels du pays.
Un tel bilan ne s’est accompagné de la moindre menace d’intervention humanitaire en faveur des Palestiniens, ni de la moindre menace de sanctions à l’encontre d’Israël. Manifeste est le décalage entre le zèle humanitariste déployé dans la zone arabo africaine et l’impassibilité occidentale à l’égard d’Israël, au point que la question de Palestine apparaît désormais comme la ligne de fracture majeure entre le Nord et le sud, au point que le dépassement du conflit ne saurait provenir que d’une initiative audacieuse proposant l’inscription de la Palestine au patrimoine de l’humanité.
En pleine tourmente contestataire arabe, l’Arabie Saoudite, jusque-là relativement épargnée, se trouve sur la question palestinienne devant une redoutable épreuve. Principal bénéficiaire des coups de butoir d’Israël contre le noyau dur du monde arabe, l’Égypte, la Syrie, le Liban, l’Irak, les Palestiniens, le meilleur allié arabe de l’Amérique apparaît sinon le complice à tout le moins le «dindon de la farce» du duo israélo-américain, au point de se placer, de même que les Etats-Unis en porte à faux de l’opinion arabe et musulmane.
Le chef de file de l’Islam sunnite a porté le fer aux quatre coins de la planète pour le compte de son protecteur américain, mais le bailleur de fonds des équipées militaires américaines dans le tiers monde (de l’Afghanistan au Nicaragua) n’est jamais parvenu à libérer l’unique Haut Lieu Saint de l’Islam sous occupation étrangère: la Mosquée d’al Aqsa à Jérusalem, alors que son leadership est désormais concurrencé par le nouveau venu sur la scène diplomatique régionale, la Turquie et sa posture néo-ottomane, de même que l’Iran, puissance du seuil nucléaire.
Le loyal serviteur de l’Amérique, auteur de deux plans de paix pour le Proche Orient, n’a jamais réussi à faire entériner par son protecteur américain et son partenaire israélien, les propositions visant à régler le conflit israélo-palestinien, ni à prévenir l’annexion rampante de Jérusalem, ni la judaïsation de la troisième ville sainte de l’Islam, pas plus qu’il n’a pu éviter le basculement des grandes capitales arabes hors de la sphère sunnite avec Jérusalem sous occupation israélienne, Damas sous contrôle alaouite et Bagdad, enfin, sous partage kurdo-chiite.
L’issue de cette bataille engagée à l’ONU déterminera dans une marge mesure la crédibilité américaine dans la sphère arabo musulmane, de même que la place de Barack Obama dans l’histoire, à savoir s’il laissera le piètre souvenir d’un président sans dessein, otage du lobby pro israélien, ou s’il y prendra place comme le premier président afro américain gravant dans la mémoire des peuples le souvenir du premier président de la société post raciale américaine, porteur des valeurs universelles que les États-Unis se targuent d’incarner.
A un an des élections présidentielles américaines, en novembre 2012, Barack Obama a été tenté de faire usage de son droit de veto afin de ne pas s’aliéner le vote du lobby pro israélien aux États-Unis qui lui assurerait une «victoire à la Pyrrhus», en ce que sa reconduction à un nouveau mandat, au détriment du droit et de la justice, se faisait au détriment de sa postérité future, comme ce fut le cas pour de nombreux dirigeants américains pro israéliens, à commencer par George Bush jr, «le pire président de l’histoire américaine» avant d’être supplanté dans ce titre par l’artisan du «Muslim Ban», Donald Trump et son maléfique gendre Jared Kushner .
Face au groupe occidental fragilisé par les crises cycliques de son économie, les revers budgétivores des guerres d’Afghanistan, d’Irak et de Libye, la montée en puissance de la Chine, la dynamique du «printemps arabe» et l’élimination des principaux pivots de l’influence occidentale dans la sphère arabo musulmane (Commandant Massoud Shah -Afghanistan, Benazir Bhutto-Pakistan, Rafic Hariri-Liban, Hosni Moubarak-Egypte, Zine el Abidine Ben Ali-Tunisie), l’État palestinien qui se profile désormais inéluctablement à l’horizon, compensation au rabais des turpitudes occidentales à l’égard du peuple palestinien innocent, retentit aussi rétrospectivement comme le triomphe posthume de Yasser Arafat, un hommage rétroactif au combat du chef historique du mouvement national palestinien, un hommage au porteur du keffieh palestinien, le symbole de l’identité palestinienne, promu désormais au rang de symbole universel du combat contre l’oppression, au même titre que l’icône sud américaine Ernesto Che Guevara de la Sierna et du sud africain Nelson Mandela.
Shireen Abou Akleh, in Memoriam
Cinquante cinq (55) tel est le nombre de journalistes palestiniens tués par les forces d’occupation israéliennes depuis l’an 2000, date du début de la deuxième intifada et à 16 le nombre des journalistes palestiniens emprisonnés.
Journaliste chrétienne palestinienne, d’une famille originaire de Jérusalem jouissant de la double nationalité palestinienne et américaine, Shireen Abou Akleh, correspondante de la chaîne transfrontière arabe «Al Jazeera» pour les territoires palestiniens occupés, a été tuée par l’armée israélienne, le 11 Mai 2022, à proximité du camp de réfugiés palestiniens de Jénine, alors qu’elle portait un gilet pare balles mentionnant PRESSE en toutes lettres.
Intervenant un an après la destruction de la Tour Média de Gaza qui abritait notamment les bureaux d’Al Jazeera et de l’agence de presse américaine Associated Press, la mort de Shireen Abou Akleh porte à cinquante cinq (55) et le nombre de journalistes palestiniens tués par les forces d’occupation israéliennes depuis l’an 2.000, date du début de la première intifada et à 16 le nombre de journalistes palestiniens emprisonnés.
Dans le même ordre d’idées, 150 dépouilles palestiniennes, dont les dépouilles de 9 enfants, demeurent retenues par les autorités israéliennes en otage, dans des entrepôts frigorifiques.
Une journée solidarité internationale sera organisée le 27 août 2022 à Beyrouth en vue de réclamer la restitution des dépouilles palestiniennes à leurs familles. La journée de solidarité a été organisée par Mohamad Safa, directeur du Centre Khiam, du nom du centre de détention aménagé par les Israéliens au sud-liban durant leur occupation de cette zone frontalière libanaise (1976-2000)
.
RÉFÉRENCES
1 – Marc Rich, spéculateur financier sur les matières premières, a fait l’objet de poursuites pour fraudes fiscales et trafic avec l’Iran. Le milliardaire s’enfuira pendant 17 ans des Etats-Unis pour échapper à la justice de son pays. Philanthrope des musées israéliens, il sera gracié par le président Bill Clinton le jour de son départ de la Maison Blanche, en 2001, sur intervention du premier ministre israélien Ehud Barak et du maire de Jérusalem de l’époque Ehud Olmert.
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2024/01/arafat-mister-palestina-para-sempre-22.html
J’en ai marre de lire tout le temps les mêmes conneries qui font référence à la même altération de la pensée ainsi que celle de la description des réalités, parce que les auteurs et les autrices ne sont que des perroquets écrivant.
La Palestine, Gaza, ne sont absolument pas une prison ou ghetto à ciel ouvert pour les Palestiniens, ça n’est absolument pas la réalité à laquelle nous sommes confrontés depuis des décennies, non ça n’est pas ça!
C’est le plus gigantesque et opérationnel camp de la mort et d’extermination, n’ayant jamais existé sur Terre!
C’est une exclusivité juive, ça aussi, c’est la vérité.
C’est lassant de lire toujours les mêmes sempiternelles jérémiades alors que depuis le 30 décembre dernier, le pays pour les juifs, fait l’objet d’une accusation formelle devant la Cour Internationale de Justice, d’une accusation de crime de génocide, alors pourquoi ressasser les mêmes conneries qu’on pouvait lire cinq ans en arrière, ce texte est une perte de temps considérable, depuis le 8 octobre dernier, plus 100 journalistes palestiniens et autres non-occidentaux se sont faits sommairement exécuter en Palestine, sans que cela ne suscite la moindre émotion de la part de leurs confréries occidentales, or, quand durant le mouvement des Gilet jaunes, cette imposture caractérisée se faisait dégager de la proximité des cortèges par les manifestants, sans que la vie d’aucun d’eux n’ait été menacée, que de cries d’orfraies sur la bestialité des Français envers la presse c’étaient rependues dans les rédactions consanguines des « actualités » occidentales.
Quant à savoir si Barak Obama est une conscience qui n’avait pas la bravoure qui allait avec, la réponse est oui! néanmoins, cela n’enlève rien au caractère négrophobe de l’article, car Obama avait été élu par son peuple, pour défendre les intérêts américains, pas pour que sa négritude satisfasse la médiocrité d’autres à se tenir en position verticale.
On lit dans ce texte, toute la duplicité, l’hypocrisie les complexes que se traine l’intellectualisme arabo-musulman depuis des lustres, même aujourd’hui les couilles ne leur ont toujours pas poussées, malgré l’immense sacrifice palestinien, leur lecture actuelle fait toujours référence à une soumission de caractère aux convenances établies par leurs ennemis, ainsi, le Hamas est un groupement terroriste, le 7 octobre n’est absolument pas pour eux le plus spectaculaire coup de main (tactique de guérilla mondialement reconnue et employée par toutes les armées) qui se soit fait depuis la fin de la dernière guerre mondiale, mais non, ces gens-là ont trop peur pour leur train de vie, alors ils font dans l’inutile pour exister.
Preuve à ça, je n’ai jusqu’ici rien lu de l’un d’eux disant qu’Arafat doit être heureux et fier des siens, comme c’est certainement le cas, depuis le 7 octobre 2023, d’une part.
D’autre part, c’est de voir à la lecture de ce pensum, que jamais une seule fois cet auteur dans sa vie d’alors, n’aurait rêvé le peuple palestinien aussi gigantesque qu’il se montre au monde aujourd’hui, alors, qui sont ses vrais ennemis à ce héros dont tout le monde arabo-musulman rêve de prendre un peu l’ombre aujourd’hui?
Voilà pourquoi les pleurnicheries ne servent à rien quand on est au combat, hier, aujourd’hui comme demain, forts et déterminés.
«l’État palestinien qui se profile désormais inéluctablement à l’horizon»
Absolument rien ne se profile pour les Palestiniens, sinon un exode massif de ceux qui seront encore en vie.. Les plus résistants prendront la direction où les judéos-nazis les pousseront à aller de force, une marche forcée vers une mort CERTAINE et FINALE.. L’état sioniste illégal est la pire des DICTATURE QUI EXISTE actuellement sur terre. Les judéos-nazis envisagent d’organiser le départ sans retour de la population civile de Gaza et de Cisjordanie vers le désert voisin du Sinaï, en Égypte. Les sionistes, ces clones nazis utilisent le même mode d’emploi que leurs mentors (bourreaux ariens) de l’époque.
Le reste du monde qui assiste à ce génocide, ce massacre atroce, cette élimination d’êtres humains, que ces pourritures de journalistes COMPLICES nous présentent comme étant un processus presque normal..de l’auto-défense de la part de ces prétendues victimes de l’holocauste nazi est UNE ABERRATION, une INSULTE À L’ESPRIT!! Ces CRAPULES de journalistes tentent sans arrêt de nous égarer tous à l’aide de montages et de fausses nouvelles sionistes. Exemple de cette folie, de cette manipulation abjecte de la part de la chaine poubelle France24, qui a congédié des journalismes accusés faussement d’antisémitisme envers les judéos-nazis sionistes, POURQUOI? parce ce que certains d’entre eux sans doute trop perspicaces et ayant encore des valeurs.. avaient désigné Israël comme étant: la PALESTINE OCCUPÉE….
De plus, que devrions-nous tous faire devant autant de NULLITÉ et d’HYPOCRISIE, d’INNACTION, de VOLS et DÉTOURNEMENTS systématiques de l’aide envoyée aux Palestiniens??? de cette COMPLICITÉ des états et organismes aplatis devant les USA et leurs exécutants judéos-nazis?? Devrons-nous nous même nous constituer une organisation armée et partir régler le problème?? peut-être que OUI.
La seule solution viable est et a toujours été: la DISPARITION de l’état illégal sioniste et sa COLONISATION ILLÉGALE. Le monde entier ne s’en porterait que mieux..
Garde ton calme en même temps que l’espoir, la France et l’Amérique ne sont plus les modèles sur lesquelles focaliser pour comprendre le bulletin de santé de l’entité pour les juifs, plutôt que d’attarder tes émotions à regarder les mesures déplorables que prennent ces impostures journalistiques envers leurs collègues qui font leur travail d’information envers les Français, pour défendre l’amour national de leur vie, israël, regarde avec plus d’attention les manifestations de la lâcheté, de la faiblesse intrinsèque et de la défaite inéluctable qui ne cessent de grossir sous tes yeux.
D’une part l’actualité prétendument française a que fait revenir en tête d’actu le conflit en Ukraine qu’elle méprisait ardemment il y a quelques semaines quand elle croyait encore que la purulence juive égarée au nord de l’Afrique allait remporter rapidement la victoire sur le Hamas, aujourd’hui elle sait la vérité sans pouvoir la livrer aux téléspectateurs très peu nombreux qui regardent, les Palestiniens leur infligent un véritable holocauste pour le coup chez-eux, parce qu’ils les font frire dans leurs merkava et autres blindés, c’est une hécatombe qui leur vaut des milliers et des milliers de morts dans les rangs de leur armée, du jamais vu.
Là où c’est encore encore plus grave pour eux, c’est d’avoir fait de notre le musée de la repentance d’une histoire complètement bidonnée, maintenant qu’un vrai génocide est en cours, ils nous prouvent autant leur déloyauté que leur inassimilabilité à la France, par qu’ils protègent des soi-disant coreligionnaires du pire des crime ou ce sont eux qu’ils protègent parce qu’ils sont indifférenciables des criminels israéliens?
Ils sont en train de tout perdre!
Par ailleurs, les autorités politiques et militaires juives israéliennes, disent déjà que la guerre va durer toute l’année, c’est comme si ces crétins t’annonçaient leur défaite prochaine avant même d’avoir déployé toutes les opérations planifiées par eux.
Ils n’ont pas les moyens de tenir une guerre un an, leur société n’y est absolument pas préparée et habituée pour, d’autre part, l’embargo qu’ils subissent est un frein pour l’économie mondiale, non pas parce que le trafic international maritime qui ne se rend pas en israël est empêché de naviguer, mais parce que les traîtres juifs qui vivent en Occident à voler leur fric aux gens, ont donné à leur bébé national des monopôles industriels comme celui des processeurs pour nos ordinateurs, c’est toute l’économie de grands trusts industriels qui risque l’effondrement à moyen terme, la concurrence chinoise entre autres est déjà en train de collecter des victoires sur lesquelles il ne sera pas possible de revenir dessus efficacement plus tard, ce cloaque est une véritable turne même pour ses habitants, ils sont entre les mains d’une poignée de margoulins qui ont un monopôle et une exclusivité d’importation et d’exportation sur tout ce qui fait leur vie quotidienne, du papier toilette aux produits de grand luxe, tout est concentré entre peu de mains, l’embargo est menace directe sur ces foutues fortunes, mais c’est la plaque tournante du trafic à TVA qui ruine nos pays et nous-mêmes, cette rapine va s’en prendre un grand coup derrière les oreilles, c’est carrément à leur pognon qu’on s’attaque là, pas à n’importe quel moment, mais quand le big-boss russe prend lui-même la direction des opérations.
Les faire tomber ou sévèrement les stresser, aura forcément des répercutions systématiques et systémiques sur l’ensemble des communautés juives, déjà que connement les avoirs de celles russes sont soumis aux sanctions internationales, tout cet argent bloqué qui ne travail plus comme il le devrait au bénéfice de la communauté rassemblée en intérêts, va vite madoffier certaines situations commerciales et personnelles, les faillites vont pas tarder à se faire entendre, quant aux entreprises et marques qui faisaient d’excellentes affaires avec israël la corrompue, il va leur falloir vite modifier leurs business plans, ou là aussi des restructurations et faillites sont à attendre ce premier trimestre, ce qui veut dire que l’économie de cette saleté est tellement liées aux nôtres, que le mouvement d’une aile de moucheron chez-eux produit une tempête d’une force encore inimaginable pour beaucoup en Occident.
Ils sont pas en train de gagner du tout là!
Bien sûr, l’Amérique et l’Angleterre sont vent debout pour empêcher l’imminence de la catastrophe annoncée, mais, comme on le sait, l’Iran a déplacé une pièce navale en mer rouge, c’est certainement pas pour faire la circulation à la place des autres ni pour s’associer à la faire avec eux, néanmoins, cette présence change la donne, car elle fait augmenter le risque d’une tragique erreur contre ce bâtiment iranien, qui justifierait illico presto l’emploi du nucléaire sur, israël, l’Angleterre et l’Amérique, eh oui, rien que ça.
Qui aura l’opportunité le premier de la légitimité d’une frappe nucléaire sidérante, voilà à quel niveau ils ont placé la barre des hostilités en cas de faute stratégique majeure, évidemment, là c’est pas vraiment les Occidentaux qui sont à l’initiative d’un jeu aussi dangereux, mais bon, comme ils voudraient jouer la montre, on leur fournit toutes les raisons nécessaires pour qu’ils considèrent bien ce qu’ils ont à faire plutôt que ce qu’ils voudraient faire.
Les israéliens sont dans la même posture que les Ukrainiens, mais plus rapidement eux, des deux côtés les chefs de ces endroits racontent à qui veut l’entendre, qu’ils vont gagner, qu’ils sont en train de gagner, que leurs armées et leurs populations sont fortes et déterminées, sur les écrans et devant les micros ça fait son effet, quant à la réalité du terrain, ils n’ont les uns comme les autres pas le moindre signe victorieux à brandir, leurs populations sont invisibilisées parce qu’elles savent que c’est mal barré et que si ça continue comme tel, ça va mal finir.
Non seulement le Hamas peut encore tirer autant de roquettes qu’il le décide sur l’occupant malgré ses bombardements intensifs et génocidaires, échec militaire israélien alors, quant à Zelensky et ses parrains, quand ils font un sale coup pour réexister dans l’actualité, ce sont des pluies de bombes sur l’ensemble du pays qui était jusqu’alors épargné qu’ils récoltent, là aussi échec militaire, puisque dans les deux cas les populations civiles des deux pays sont plongées dans les plus violents stress qui soient, pour un coup médiatique qui va les mettre en grandes souffrances pendant des mois, alors que lui n’aura duré que quelques heures.
Tout ça pour te dire, tu te trompes, ces connards ont perdu leurs guerres, les Palestiniens auront ce qui est à eux pleinement, tout comme la Russie obtiendra elle aussi absolument tout ce qu’elle veut.