DE L’INSURRECTION POPULAIRE À LA RÉVOLUTION PROLÉTARIENNE
Vient de paraître aux Éditions L’Harmattan à Paris le volume de Robert Bibeau et Khider Mesloub :
« DE L’INSURRECTION POPULAIRE À LA RÉVOLUTION PROLÉTARIENNE« . Collection Questions contemporaines. 120 pages.
Pour commander: De l’insurrection populaire à la révolution prolétarienne – Robert Bibeau, Khider Mesloub
Une Révolution sociale est un mouvement de classe par lequel la classe dominante d’un mode de production obsolète est renversée, ses infrastructures économiques et matérielles et ses superstructures sociales, politiques et idéologiques détruites pour être remplacées par un nouveau mode de production.
La Révolution française fut une authentique révolution sociale au cours de laquelle la bourgeoisie a renversé l’ordre féodal pour édifier le mode de production capitaliste (MPC). De même, la Révolution russe a renversé l’aristocratie tsariste pour amorcer l’édification de la société capitaliste d’État soviétique. À ce jour, il n’y a jamais eu dans l’histoire de l’humanité de révolution sociale prolétarienne victorieuse.
Insurrection, révolution sociale, capitalisme, impérialisme, électoralisme bourgeois, démocratie, peuple, classe sociale, lutte de classe, marxisme, socialisme, communisme, internationalisme, autant de termes qui ont défrayé la chronique tout au long des siècles derniers. Ces locutions ont été galvaudées par la gauche, ces faux amis du prolétariat, et par la droite, ces ennemis déclarés de la classe prolétarienne.
Nous souhaitons redonner leur sens matérialiste dialectique et historique à ces vocables afin de mieux comprendre ce qu’ont été ces Révolutions prétendument socialistes, mais certainement pas prolétariennes.
Notre objectif ultime est d’identifier les conditions objectives et subjectives de la Révolution prolétarienne internationaliste à venir.
Versão em Língua Portuguesa:
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2024/12/da-insurreicao-popular-revolucao.html
Bonjour.
La seule révolution valable serait celle où la production de masse, base du capitalisme, disparaîtrait, remplacée par une fabrication à la demande à la place du système de l’OFFRE. Enfin on pourrait parler de modération énergétique et dans l’extraction de nouvelles ressources du sol et du sous-sol. Ce genre de perspective n’est pas dans l’air du temps, car cela détruirait à la fois le capitalisme et son pendant obligé, le prolétariat.
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